viernes, 17 de septiembre de 2010

El último bastión.

Les absences sont payés avec l’exil, le dernier bastion que j’avais à prendre a été a moi cet après-midi.

Maintenant tes souvenirs c'est mon présent, ce qui a été tes joies c’est ça négligence, et mes rires seront tes larmes.

Rien te reste de lui.

Rien lui reste de toi.

Même pas le souvenir de ton absence.

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